Bonsoir à vous tous, Chers Lecteurs et Lectrices.
Suivant une note offerte sur Icetea & Fluminis (de pseudo Lenigmatique) J'ai, comme dit, finalement passé faire lecture et partage de divers mots et connaissance ici. Ces derniers temps ne sont pas toujours facile, dois-je dire, et je pourrais craindre mon raisonnement à repousser des limites qui pourrait s'avérer effective à travers l'espace [...].
Je n'ai pas atteint ma vingtième année de vie terrestre, que ma mémoire s'effare dans des contrés plus éloigné encore. Peut-être est-ce là toute la simplicité du retour avec la connaissance "innée" de l'homme, je n'en reste pas moins qu'un vulgaire profane à mes propres yeux, peut-être qu'une Faux de plus, qu'un Faux de moins. Je fais pas grand chose de ma vie! Mis à part tenter de m'occuper au mieux de ma mère, mon frère, nos colocs, tenter de régler ou voir comment régler les problèmes mentaux, les tics et les défaillances dont nous sommes entourée, dans un "malgré moi" surtout.
Par chance, je n'ai pas encore commis de crime, néanmoins, si j'avouerais que j'ai pu assister à "ça", et même l'histoire cinématographié semble en approuver une partie théorique, cela ne résout ni le temps, ni la relativité d’Einstein et ne réponds pas à la constance gravitationnelle face à la lumière. Alors, en soit, je suis probablement qu'un vieil Alchimiste qui porte en soit une partie de clé du mystère de la pierre philosophale (pour les chercheurs d'or, encore). Enfin, c'est surtout que je m'entends bien avec ma folie, que ce soit Mademoiselle Banshee ou encore La Paranoïa qui rende le dédoublement de pensé un peu plus... attrayant.
Alors pour ma poésie qui se veut souvent entre vulgaire prose, éprise entre deux mystères lexicaux et un retour aux mystères, tout en tentant d'y retrouver un bout de Verbe pour laisser une trace ou deux, je dirais que c'est qu'une résultante de ma présente situation inconfortable, emprisonné de par ma propre volonté depuis près de 3 ans à tourner en rond pour retrouver les mots qui vibrait si facilement entre mes doigts (seule la poésie me sauve de la page blanche présentement X:). Mais, mon positivisme, me relançant sur une chose toujours plus grande que "Soi", me prévient de la totale dépression morbide que j'effleure des doigts, caressant les songes voluptueux du vampirisme plausible /en parallèle ou en définitif.
Et puisque Maya avait déjà la solution, il ne reste plus qu'à retrouver les bonnes questions,... vous en avez? x)